"Le naturel n’existe pas, il s’acquière."
Paul Valéry
Manifeste
Dans une société d’image, il est primordial de d’abord soigner son propre storytelling. Comment se démarquer à l’heure d’Instagram, des influenceurs, au milieu de milliers de prises de paroles qui existent… au milieu de tout ce bruit ?
Trop souvent, nous n’avons pas le temps, pas les moyens, pas les connaissances pour le faire. Pourtant, investir dans notre communication, façonner nos histoires, les rendre intelligibles, sensibles, c’est d’abord investir sur nous.
L’histoire
Qu’est-ce qu’une bonne histoire ? Elle suppose une situation donnée, un élément perturbateur (appelé aussi conflit en dramaturgie), et induit une nouvelle situation. Découvrir, dénicher une histoire, une story en anglais, c’est un travail de journaliste… ou de scénariste. Chacun d’entre nous regorge d’histoires fascinantes. Encore faut-il savoir les identifier, les raconter, les polir.
« Les hommes se distinguent par ce qu’ils montrent et se ressemblent par ce qu’ils cachent » disait Paul Valéry. Partager ses faiblesses, ses tâtonnements, ses doutes, met en lumière le moment magique où s’ouvre la puissance d’agir propre à Spinoza.
L’art de l’interview
Nous cumulons tous des centaines d’interviews à notre actif. Une interview, ce n’est pas dire à quelqu’un de s’assoir et de parler.
Une interview se prépare, se travaille, se réfléchit.
Pendant l’entretien, il faut savoir la guider, emmener l’interwiewé là où le message prend tout son sens, l’aider à dérouler sa pensée. C’est là l’un des cœurs de notre métier, et un talent qui se développe avec l’expérience. C’est pour cela que nous ne faisons appel qu’à des journalistes confirmés.
Nous n’aurions pas lancé Tabloïd sans la conviction qu’il faut aujourd’hui employer les meilleurs raconteurs journalistes et techniciens pour mettre en lumière les évènements qui ont jalonné votre parcours, fait qui vous êtes.
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